Actuellement, les constructeurs ne fournissent plus de voitures électriques munies par des batteries NiCd puisqu’ils ont été formellement interdits en France. Le cadmium devient brutalement polluant s’il est rejeté dans l’air. Cependant, plusieurs propriétés ont été détectées suite à son recyclage comme par exemple : son efficacité, sa vitalité et sa rapidité de chargement.
Le mécanisme d’un accumulateur NiCd est facile : un électrolyte lié à deux électrodes par aqueux (hydroxyde de potassium) qui permet la migration d’ions et le blocage les électrons.
La batterie NiCd (nickel-cadmium) a été créée par Waldemar Jungner, un ingénieur suédois. A cause d’un problème de perméabilité, il a mis du temps pour sa mise en point. En 1947, l’allemand Georg Neumann réussit à résoudre ce problème d’étanchéité.
Dans les années cinquante, les batteries NiCd, mises en vente, avaient l’aspect de piles simples qui équipaient les portables. Mais, après quelques années, ce marché a évolué pour voir enfin les authentiques batteries NiCd utilisées pour le fonctionnement des équipements de bord d’avions et de voitures ferroviaires.
En juillet 2006,la directive européenne 2002/95/CE qui limite l’utilisation de certaines substances dangereuses dans les équipements électriques et électroniques,la vente d’accumulateurs qui contiennent du cadmiumest interdite pour des particuliers et aussi pour des machines qui sont destinées à eux puisque le cadmium est très polluant dès qu’il est mis en contact avec l’air.
Il y avait un temps où le recyclage des éléments NiCd n’était pas évolué mais actuellement, cette technique existe avec la convenance de se destiner uniquement aux professionnels concernés.